Il ne leur a pas suffit de diaboliser les vivants comme outil de mise en quarantaine et de briser tous les liens avec l'entourage, ils se sont pris même à ceux qui sont dans l'autre monde. L’Algérie n'est pas à la croisée des chemins elle est dans la pire de toutes les situations : celle d'une possession multinationale dont les gérants sont hantés de peur et de haine d'où le renversement de l'échelle des valeurs, le génocide dans le cadre d'une "sélection" à l’envers, perverse et diabolique dans le but de créer une société docile et facile à mener à l'abattoir.
Le jeu tribal et familial est un autre outil de travail et d'action de ces gens au pouvoir contre la société elle même difficile à saisir par la majorité de cette même société.
Pour eux la destruction de ce pays, l’Algérie, terre et hommes, est une mission sacrée d'où leur obstination et oreille sourde à tous les appels.
Ne sommes-nous pas, devant cette situation de dos au mur, en droit légitime de se demander quelle est leur fois ?
Ceux qui cherchent à perdurer cette situation ne font que commettre un act de haute trahison au sens réel et complet du mot.