Y'a-t-il quelque chose de bon à attendre d'une école algérienne partagée ou distribuée en fiefs (entre qui et par qui ?).
Cette école est le théâtre de luttes et conspirations qui dépassent son cadre.
Ce qui s'y passe et en déborde ne peut être exprimé en chiffres et dénonce des enjeux qui semblent être énormes qu'on aimerait bien connaître.
On aurait aimé s'étaler sur ce sujet mais il faut avouer que les mots manquent. En plus, n' y a t-il pas un risque de porter atteinte au" prestige de l'état" ?
Ce principe ou théorie qu'il conviendrait bien aborder et en discuter un jour Espérons.