Malgré quelques échecs et déboires, la presse algérienne en langue française fait ,parfois, des sorties indicatrices d'une certaine attention, des sorties (articles) aussi courageuses que profondes dans ses analyses de la situation que vit le pays.Mais hélas, ses articles ne sont lus que par une petite partie de la société algérienne qui se rétrécit et s'amoindrit année après années vu que la langue française perd, progressivement, du terrain en Algérie. En conséquence l’impact et l’influence de ces écrits sur la société et l’opinion publique reste très limité pour ne pas dire nul.
Publier de tels articles, aussi dans la langue la plus lue en Algérie ne ferait que du bien.
Il est utile de signaler que l’école algérienne subit réellement une guerre systématique et souffre d’entraves et de violences. Une école minée de l'intérieur, torpillée à la tète presque de chaque établissement (surtout du secondaire) et pilonné de l'extérieur(Loin de toute exagération).
Dans la situation actuelle caractérisée aussi par des programmes ridicules et des moyens de support pédagogiques qui font à la fois rire et pleurer ,quand il ne sont pas inexistants, il n y a presque rien à en attendre.L'espoir donc, doit se fonder et se baser sur la presse et surtout la presse indépendante. Ce rôle qui doit être attribué à la presse n’est pas destiné à la substituer à l’école mais ,entre autres, à pallier à ses carences imposées et l’aiderait à surpasser cette situation inquiétante ,alarmante et dangereuse.
Il faut noter que les problémes que connait l'école algérienne sont un travail conscient,un programme,une oeuvre de plus d'une partie,pour servir un projet (ou des projets).